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La question de la sécurité est centrale dans l’intégration d’un cobot dans une ligne de production. La sûreté des agents doit être garantie, à tout moment. Les opérateurs peuvent également ressentir le besoin d’être rassurés face à l’arrivée d’une machine à leurs côtés. Voici comment sécuriser de manière optimale l’activité d’un cobot, ainsi que la réglementation qui l’entoure.
Quelle est la réglementation autour de la robotique collaborative ?
L’avènement de la robotique collaborative a amené les instances gouvernementales à poser des normes, afin d’assurer la sécurité des opérateurs lors de l’utilisation d’un cobot. Ainsi, de la phase de conception du produit, jusqu’à son intégration dans la ligne de production, les machines doivent respecter la réglementation. La Commission européenne a ainsi défini une Directive Machine 2006/42/CE qui soumet les fabricants de robotique collaborative à des dispositions obligatoires.
Le comité technique ISO/TC 299 a, de ce fait, défini les normes ISO 10218-1 et ISO 10218-2. Elles énoncent les 4 principes majeurs de mise en sécurité :
Ces paramètres doivent être calculés et déterminés pendant la phase d’évaluation et d’analyse des risques, étape obligatoire lors de l’intégration d’un cobot. Elle permet de distinguer les risques afin de les limiter et de les atténuer à un niveau acceptable.
Pour accompagner les acteurs autour de la robotique collaborative, le gouvernement français a rédigé un guide de prévention à destination des fabricants et des utilisateurs. Très complet, il permet de faire le point sur les différents paramètres à prendre en compte lors de la réalisation et de l’installation d’applications collaboratives robotisées.
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Comment évaluer et analyser les risques de la robotique collaborative ?
Dès lors que le projet d’intégration de robotique collaborative émerge, il conviendra de faire le point sur certaines notions afin de se diriger vers les modèles de cobot les plus adaptés. Ainsi, les besoins de l’entreprise doivent être précisés avant de définir comment la robotique collaborative pourra y répondre et selon quelles modalités. De plus, il ne s’agit pas de révolutionner la ligne de production, mais bien d’intégrer le cobot dans un environnement de travail qui comporte des caractéristiques et des spécificités. Les expliciter lors d’une analyse permet d’opter pour une machine qui remplira pleinement sa fonction.
L’analyse des risques est une phase obligatoire qui précède l’intégration de la machine sur la ligne de production. Elle permet notamment de calculer les limites de la machine, de répertorier les risques et leurs degrés de gravité lors de son usage et les compétences nécessaires à son utilisation. Si votre entreprise dispose des ressources en interne pour effectuer cette évaluation, il est tout à fait envisageable de la confier à un collaborateur ou à une équipe. Toutefois, un regard extérieur vient souvent souligner des éléments pertinents. L’intégrateur de votre cobot pourra se charger de procéder à l’évaluation des risques.
Lire aussi : Qu’est-ce qu’un Cobot, le robot collaboratif ?
ROBKUB, une robotique collaborative conçue autour de la question de la sécurité
Les cobots ROBKUB sont conçus pour répondre aux normes de sécurité en vigueur. Vous profitez ainsi de tous les avantages de la robotique collaborative, en garantissant une sécurité maximale à l’ensemble des opérateurs amenés à travailler avec les cobots ROBKUB. Spécialiste des solutions cobotiques, ROBKUB dispose d’une expertise des différents secteurs, mais également d’un savoir-faire reconnu. Véritable acteur de proximité, l’entreprise est basée dans le Maine-et-Loire, où ingénieurs et experts s’activent quotidiennement pour apporter des réponses aux problématiques de leurs clients. Contactez un de nos experts en robotique collaborative.
